L’inconscient collectif – Carl Gustav Jung : un concept fondamental

Selon Carl Gustav Jung, l’inconscient collectif est constitutif de l’humanité, de son système de pensée et de sa psychologie. Il génère les symboles qui rendent possibles les récits et les civilisations.

L’inconscient Collectif est une notion introduite par Carl Gustav Jung. On retrouve cette idée chez d’autres penseurs avant lui. Mais Jung en a fait un concept véritablement central. Il s’agit d’une notion extrêmement importante en onirologie. En effet, l’onirologue doit réussir à « se brancher » sur l’inconscient collectif afin de découvrir l’histoire derrière le rêve.

Un rêve exprime quelque chose de profond. Quelque chose qui peut être logé dans l’inconscient personnel, certes, ou plus loin encore… Mais le rêve l’exprimera toujours avec le langage « onirique ». Ce langage du rêve est caractéristique de l’inconscient collectif. Et quel est le langage du rêve ? Le symbolisme. Oui, l’inconscient collectif s’exprime à travers l’imagination. Sur le mode symbolique qui est la première forme de la pensée.

Vous qui vous intéressez à vos rêves et à leurs symboles. Dans cet article vous allez découvrir ce qu’est l’inconscient collectif : ce « code psychologique » de l’espèce humaine. Puis je vous expliquerai comment Carl Gustav Jung a découvert ce niveau de l’inconscient grâce à son métier de psychiatre. Enfin vous verrez ce que ce concept de psychologie a de révolutionnaire.

L’inconscient collectif : le code psychologique de l’espèce humaine

L’inconscient collectif est un « code psychologique » que l’on reçoit en tant qu’être humain. C’est l’équivalent psychologique du code génétique, pour simplifier. On reçoit cet inconscient en tant qu’être humain, on ne le choisit pas. Comme le fait d’avoir deux pieds, deux yeux, des intestins de plusieurs mètres, des instincts (conservation, agressivité, cris, pleurs)…etc.

L’inconscient collectif est notre héritage commun

L’inconscient collectif est donc en quelque sorte l’héritage psychologique de l’espèce humaine. Un peu comme un monde des idées (Platon) d’où la conscience émerge et qui nous relie les uns les autres. L’univers intérieur à partir duquel les hommes ont imaginé leurs civilisations. C’est cet univers intérieur propre à la nature humaine que nous explorons en psychologie des profondeurs.

Un cadeau de naissance

L’inconscient collectif est un cadeau que nous recevons en venant au monde. Mais le monde n’a pas toujours ressemblé à ça. Ainsi, l’inconscient collectif de l’homme moderne n’est pas le même que celui de l’homme du moyen-âge ou d’un primitif. Leurs patrimoines génétiques sont aussi différents.

D’après Jung, L’homme moderne aurait accès à une conscience d’un niveau supérieur à celle de l’homme antique. Parce que son inconscient collectif est riche de l’expérience des siècles. Tout comme sa constitution physique s’est améliorée.

inconscient collectif Carl Gustav Jung
L’inconscient collectif renverse notre façon de considérer les choses, comme cette boule de verre qui inverse le ciel et de la terre.

Comment Carl Gustav Jung a découvert l’inconscient collectif

L’inconscient collectif s’observe dans les productions de la maladie mentale

Carl Gustav Jung était psychiatre. Il a découvert l’existence de l’inconscient collectif en travaillant de nombreuses années avec des patients schizophrènes. Il s’est rendu compte que leurs délires se ressemblaient. Ils avaient des schémas communs. Ils faisaient appel à des références mythologiques que les patients ne pouvaient pas connaître.

Grâce à des rêves d’enfants

Il s’est fait la même réflexion en étudiant les rêves d’enfants. Souvent ils se rapprochent de certains récits fondateurs dont les enfants n’ont jamais entendu parler.

Constat et hypothèse à l’origine du concept d’inconscient collectif

L’hypothèse d’une imitation se voyait annulée. Les enfants étant trop jeunes et ses patients peu érudits. Il en est venu à la conclusion que les hommes devaient porter en eux la possibilité de générer des récits mythologiques. Autrement dit qu’ils possédaient la capacité à créer des formes universelles pour exprimer leur état. Et cela dès l’enfance et même en cas de maladie psychiatrique.

Ces formes universelles, Jung les appellera les Archétypes. Les archétypes sont en quelque sorte des contenants vides permettant de produire des symboles. Ce sont ces symboles dont on observe l’agencement unique et original dans les rêves.

Pour prouver son postulat, Jung a étudié les cultures du monde entier et énormément voyagé. Il a mis en parallèle des mythes fondateurs, des personnages de légendes. Des dieux, des histoires, des rituels, des méthodes de soin. Des formules, des croyances du monde entier… Il a prouvé qu’on retrouve de nombreux Archétypes partout dans le monde. Dans des symboles qui se ressemblent de manière étonnante. Non parce que les cultures se sont mutuellement influencées en se métissant (certaines zones du monde ne pouvant pas communiquer entre elles jusqu’à l’époque moderne). Mais parce que le tibétain est lié au maori, au maya et à l’acadien par l’inconscient collectif.

L’inconscient collectif : une petite révolution théorique

Une découverte qui évide le discours raciste

Cette notion d’inconscient collectif était proprement révolutionnaire en ce début de XXème siècle. Dans le monde occidental régnait l’antisémitisme, la ségrégation, la colonisation… Autrement dit la domination de l’homme par l’homme était rendue possible grâce au critère racial. Un siècle de guerres mondiales où les massacres reprenaient sur des braises à peine refroidies.

Accepter l’idée de l’inconscient collectif revenait à admettre qu’il n’y a pas de races. Que, fondamentalement, les hommes reçoivent les mêmes paramètres psychologiques. Que donc les hommes sont strictement égaux. Or l’humanité n’était alors pas encore parvenue à ce degré d’évolution là, vers lequel nous tendons toujours.

Une théorie impossible à réfuter de bonne foi

Loin d’être une simple théorie, l’inconscient collectif se manifeste dans des productions diverses et variées. Littéraires, religieuses, artistiques, oniriques, scientifiques, poétiques, technologiques. Les mythes fondateurs, les textes les plus anciens de l’humanité se ressemblent. Les dieux, les familles divines et les hiérarchies célestes des différentes cultures aussi. Certains symboles se retrouvent dans toutes les civilisations antiques, sans quelles aient été en contact. Des découvertes scientifiques et technologiques ont eu lieu quasi simultanément. (C’est ce que nous verrons plus en détail dans l’article à suivre.)

Le rêve est le témoin par excellence de cet inconscient qui nous constitue. L’interprétation des rêves permet de décoder le langage imagé de l’inconscient collectif. Un attrait pour la culture, une curiosité éclectique et une sensibilité au symbolisme de la vie sont les prérequis de l’interprète.

inconscient collectif Carl Gustav Jung
L’océan est l’un des symboles de l »inconscient collectif.

A la poursuite de l’inconscient collectif : des exemples concrets

Je vais commencer par donner des exemples issus de mon expérience d’analyste. Puis dans des exemples de symboles issus de cultures qui ne se sont jamais rencontrées. Ensuite je parlerai de points communs entres rites et religions de continents différents. J’évoquerai le phénomène des découvertes scientifiques simultanées. Ce qui nous m’amènera au constat que l’histoire est un bon baromètre pour mesurer à la fois : le niveau d’évolution de la conscience, et les mouvements qui animent l’inconscient collectif.

La preuve par le rêve

Pour explorer l’inconscient collectif, quoi de mieux qu’observer ses propres rêves ? 🙂

Comment l’inconscient collectif me renseigne sur le rêveur

Chaque jour avec mon activité, j’entre en contact avec l’inconscient collectif. Dans un rêve de « bilan », je suis capable de retracer le parcours qui a conduit la personne à faire ce rêve. Je perçois les étapes de sa vie qui amènent la problématique du rêve. Comment j’y parviens ? En étant attentive aux symboles et à leur agencement. Je me laisse guider par l’univers du rêve. Je me « connecte » à l’inconscient collectif grâce à mon intuition.

Percevoir l’essence symbolique de l’existence

J’ai toujours été attentive aux symboles. Passionnée d’histoire et lectrice insatiable, ma bibliothèque intérieure est un peu particulière. (La bibliothèque de mon salon est assez spéciale aussi!) Imaginez une bibliothèque à symboles. La bibliothèque doit être mobile, modulable à l’infini et en expansion. Elle doit être assez complète pour pouvoir connaître les pouvoirs agissants des symboles et leur ambivalence. En effet, comme l’explique Carl Gustav Jung , le symbole est un transformateur d’énergie psychique.

La difficulté de l’analyse tient au fait de ne surtout pas isoler les symboles les uns des autres. Au contraire : il faut considérer le récit du rêve dans son unicité. Si on se contente d’assembler des significations lues dans des dictionnaires des rêves, ça ne marche pas. Même si les significations sélectionnées sont les bonnes, observer ce qu’elle forment ensemble est ardu. On ne saurait se contenter de relever la symbolique des éléments du rêve. Il s’agit de trouver le cœur du propos : ce que ces symboles ensemble racontent.

Le dragon de Saint Georges

Qui s’intéresse aux symboles constate l’universalité de certains qui proviennent d’Archétypes (des formes minimales qui permettent aux symboles de se former). Par exemple, on retrouve des dragons dans toutes les cultures, dans des contes populaires.

Le dragon est la menace que l’on connaît mal et que l’on doit affronter pour grandir, le rite initiatique qui fait le héros, autrement dit qui permet à l’homme d’avancer dans son individuation par la confrontation avec l’adversité. Or cette adversité est avant tout intérieure.

C’est de défi personnel dont il est question lorsqu’un dragon apparaît en rêve ou dans une synchronicité. (J’ai vu un beau dragon dans un nuage juste avant de prendre l’une des décisions les plus difficiles de ma vie. Et effectivement, passer cette épreuve m’a permis d’accéder au chapitre suivant. De me débarrasser de la peur liée à ce problème en œuvrant à sa résolution. Il me fallait d’abord passer par une démarche d’introversion afin de pouvoir régler ce problème extérieur).

inconscient collectif Carl Gustav Jung
Le dragon est une figure archétypique intéressante de l’inconscient collectif.

La preuve par le symbole

Deux symboles encore issus du monde animal pour étayer mon explication : le serpent et le chien.

Le symbole du chien

Le chien est un personnage que je retrouve souvent dans les rêves de mes clients. Le chien est le guide (le meilleur ami de l’homme), il indique la voie à suivre. Quant l’animal est mal en point, le rêveur a du mal à savoir comment il doit avancer. Or le chien, dans les religions polythéistes, guide les morts. Au Mexique, le chien était un animal psychopompe. Anubis accueille les morts en Egypte. Cerbère garde les enfers… Le chien est donc un guide dans la vie éveillée (gardien du troupeau, guide d’aveugles, chien policier) ainsi que dans « le monde des morts ». Or « l’au-delà », « le royaume des morts » étaient selon Jung des synonymes de l’inconscient.

Le symbole du serpent

Le serpent apparaît souvent et pousse à rechercher des significations.

En Grèce antique

Le serpent est un symbole qui me fascine tout particulièrement. Enroulé autour du bâton d’Esculape, il a été repris par la médecine moderne de manière assez paradoxale. La médecine a tendance à mépriser l’onirologie. Pourtant ce symbole dont elle a fait son emblème est complètement lié à l’onirologie ! Esculape (ou Asclépios) est le dieu guérisseur. Au temple d’Epidaure, les malades venaient pour dormir et surtout: pour rêver. Des prêtres onirocrites étaient là pour interpréter leurs rêves. Ils utilisaient les rêves pour mettre le doigt sur le trouble à l’origine du symptôme. Il n’y avait pas de séparation entre l’aspect « psycho » et « somatique » d’une maladie. Le corps, l’esprit et l’âme… L’être était considéré comme un tout. Des couleuvres couraient entre les dormeurs. Les dieux étaient sensés rendre visite aux dormeurs pour leur donner des rêves clés. Cette espèce de serpent porte aujourd’hui le nom de « couleuvre d’Esculape ».

→ voir la FAQ, article « L’onirologie, une pratique millénaire »

En Amazonie actuelle

Le serpent est ce qui se faufile, en même temps que le dieu, pour enlever le mal. Il est à la fois le danger (la morsure) et l’antidote (il participe à la guérison à Epidaure). Lorsque j’ai effectué un voyage dans la forêt amazonienne, on m’a parlé du rite chamanique de l’ayahuasca. Voici ce qu’on m’a expliqué. La prise de cette drogue hallucinogène se fait dans le cadre d’une démarche curative. Le participant a envie de se purifier, d’exorciser en quelque sorte ses démons. L’ayahuasca provoque des hallucinations et l’apparition d’un serpent monstrueux. Il faut accueillir le serpent. Alors le pari est relevé et le rite réussi. Sauf que nombreux sont ceux qui refusent de laisser entrer le serpent, terrorisés.

La personne qui m’a fait part de son expérience n’a pas réussi à le laisser entrer. Donc elle n’a pas pu confirmer l’effet libérateur qu’on lui attribuait. J’ai été frappée par le parallélisme entre la symbolique du serpent des amérindiens actuels et des méditerranéens de l’antiquité. (Notons que les amérindiens sont animistes. Ils suivent une progression ronde et non pas linéaire et donc leurs coutumes ancestrales perdurent.)

La preuve par le religieux

Les religions ont des héros et des rites en commun

L’inconscient collectif se déploie à travers la similarité des symboles. Il expliquerait aussi les points communs entre les religions. Jung s’intéresse à ça dans Les Racines de la conscience, sûrement son livre le moins facile d’accès. Jung observe que le rituel de la messe et de la transsubstantiation sont des prolongements de rites ancestraux primitifs. D’ailleurs l’Église catholique s’est énormément inspirée de rites païens préexistants dans ses célébrations. L’archétype de Marie – femme sacrée et absolue – est présente dans toutes les religions. Fatima en Islam, Isis en Egypte, Kali dans l’hindouisme… Les héros et les prophètes se ressemblent tous. Nous pourrions en parler des heures, je ferai un article spécialement sur les archétypes.

L’homme est profondément païen

On constate l’existence de rituels païens semblables dans des régions de la terre éloignées. Enfant Jung avait fabriqué un petit bonhomme à qui il attribuait un pouvoir protecteur. Lorsqu’en voyageant il découvrit les totems et les pierres d’âmes, il repensa à son petit bonhomme. On retrouve cette tradition au Guatemala sous le nom de « poupées tracas ». Ces poupées ont été popularisées par le livre pour enfant « Billy se bile » d’Anthony Browne. On en a fabriqué avec mon fils. Il s’agit de petites poupées auxquelles on confie ce qui nous fait peur, puis on les met sous le matelas et les tracas s’en vont !

inconscient collectif Carl Gustav Jung
Les poupées tracas sont des amulettes qu’on retrouve sous d’autres noms dans d’autres cultures, témoins de cet inconscient collectif qui nous lie.

Preuve par la science : les grandes découvertes

Certaines grandes découvertes ont lieu presque en même temps, dans des continents différents. Elles sont selon moi révélatrices du niveau d’évolution de la conscience. Elle sont surtout le reflet de ce qui s’agite dans l’inconscient collectif. Je pense à la controverse Gray et Bell autour de l’invention du téléphone. A celle du calcul infinitésimal inventé en même temps par Leibniz et par Newton. A la théorie de la sélection naturelle proposée au même moment par Darwin et par Wallace… La conscience humaine était prête à recevoir ces avancées. Celles-ci sont des marqueurs de son évolution.

Le même phénomène de simultanéité est observable directement dans les rêves. Charlotte Beradt a collecté dans les années 1930 près de 300 rêves de berlinois de milieux socioculturels différents. Elle les a regroupé dans un livre, Rêver sous le troisième Reich. Dans ces rêves, l’atmosphère présage la catastrophe à venir. L’inconscient collectif avait donc intégré la menace. L’inconscient collectif savait ce qui allait advenir avant que les populations ne prennent la mesure du danger. On appelle ce genre de rêve des « grands rêves ». A propos des grands rêves, lisez cet article.

inconscient collectif Carl Gustav Jung
L’inconscient collectif est la base large de la pyramide de l’appareil psychique, gardé par le sphinx du rêve et son langage symbolique.

N’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire, et à me poser vos questions. Je vous répondrai avec plaisir 🙂

Faites de beaux rêves et notez les!

Léa Le Gall


Si cet article vous a plu, je vous invite à regarder mes vidéos sur Youtube à propos du rêve et de la psychologie analytique de Carl Gustav Jung

Voir la chaîne YT de Léa Le Gall


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Catégorie(s) : Interprétation des rêves , Psychologie jungienne


12 Commentaires:

  • Buisson dit :

    Bjr, merci bcp pour le partage de votre savoir sur l’IC.
    Petite question suite à des synchronicités récentes: est axé sur les constellations familiales sont une composante de l ‘IC nous touchant de façon plus directe?
    A vous lire avec plaisir
    Clt

    • lea.lg dit :

      Bonjour, merci pour votre commentaire. Je ne suis pas sûre de bien comprendre votre question. Vous parlez de constellations familiales, vous voulez peut-être parler de l’inconscient familial? Dans ce cas oui, en effet, l’inconscient familial serait la partie la plus « haute » de l’inconscient collectif, à cheval entre l’inconscient collectif et l’inconscient personnel (c’est l’objet de la psychogénéalogie). Je vous propose cet article sur les synchronicités, qui, je l’espère saura vous éclairer d’avantage. Bien à vous 🙂

      https://www.interpretationreves.fr/comment-reconnaitre-les-synchronicites/

  • Camille Rochette dit :

    Merci. ! Super article, clair, facile à lire et permettant de comprendre des concepts complexes. Bravo !

  • Ann dit :

    Merci Léa,

    Vos explications étaient très intéressantes. Une grande clarté s’en dégage. Je vais vous suivre à travers les prochains.

    Jung n’est pas toujours simple à lire alors vous avez le talent de nous éclairer davantage.

    Merci infiniment.

  • PAULE CHOPARD dit :

    Article clair, et qui me permet d’avoir un regard plus large , je suis à nouveau en analyse aprés 8 années intenses d’introspection, un arrêt de 4ans et une reprisedepuis 2017. C’est je crois toute l’histoire de ma vie, quel voyage merveilleux, haletant , angoisant et fécond. Merci, j’ai hate de lire vos autres articles!

    • lea.lg dit :

      Je suis bien d’accord avec vous, je sui moi-même une abonnée du divan. La thérapie, lorsqu’on a compris son potentiel, on ne voit aucune raison de devoir s’en passer 😉 Et lorsque comme moi on travaille dans le domaine de la psychologie, on a le devoir éthique et moral de se remettre, chaque semaine, en question 🙂

  • lea.lg dit :

    Ah oui, merci Coralie, c’est parce que ça devait être deux articles à la base, regroupé en un seul. Je vais corriger ça
    😉

  • Coralie dit :

    Bonjour Lea,

    Ton article est claire et fluide.
    Juste une répétition : « je ferai un article prochainement sur les archétypes. »
    Au plaisir de te lire

    Coralie

  • BENHEMINE dit :

    Article bien rédigé, simple très riches en symbole.
    On aimerait bien que vous continuez à exposer vos articles sur l’inconscient collectif, les arckytipes, les rêves.

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